Airomir est un médicament de la famille des Agonistes sélectifs bêta 2 adrénergiques.
Il est utilisé pour les traitements ou en cas d'apparition des symptômes suivants :
Médicament disponible sur ordonnance simple non renouvelable
Prix sur prescription médicale : 7,63 €
Médicament remboursé à 65 % par la Sécurité sociale
Efficacité jugée importante
Commercialisé par Teva Sante
Posologie Airomir
AIROMIR AUTOHALER 100 microgrammes/dose, suspension pour inhalation en flacon pressurisé doit être utilisé en fonction des besoins, plutôt qu'en prises régulières.Dose recommandée :
En cas de crise d'asthme ou de gêne respiratoire : dès les premiers symptômes, inhalez 1 à 2 bouffées
Cette dose peut éventuellement être répétée quelques minutes plus tard si nécessaire.Si les troubles ne régressent pas rapidement, consultez immédiatement un médecin.
Prévention de l'asthme d'effort : inhalez 1 à 2 bouffées 15 à 30 minutes avant l'exercice
La dose quotidienne ne doit habituellement pas dépasser 8 bouffées (voir ci-dessous). Si vous avez besoin de prendre plus de 8 bouffées par jour de ce médicament pour soulager vos symptômes respiratoires, vous devez consulter votre médecin afin qu'il réévalue votre traitement.Si votre asthme est instable (par exemple si vos symptômes ou vos exacerbations d'asthme sont fréquents, comme un souffle court qui rend la parole, l'alimentation ou le sommeil difficile, une toux, des sifflements lorsque vous respirez, si vous ressentez un serrement dans la poitrine ou si vos capacités physiques sont limitées par un essoufflement), vous devez avertir immédiatement votre médecin qui débutera ou augmentera les doses d'un traitement pour contrôler votre asthme, comme les corticostéroïdes par voie inhalée.Avertissez rapidement votre médecin si votre médicament ne vous soulage pas aussi bien que d'habitude (par exemple si vous avez besoin de doses plus importantes pour soulager vos difficultés respiratoires ou si votre inhalateur ne parvient pas à vous soulager pendant au moins trois heures) car votre asthme pourrait s'aggraver et vous pourriez avoir besoin d'un médicament différent.Si vous utilisez AIROMIR AUTOHALER 100 microgrammes/dose, suspension pour inhalation en flacon pressurisé plus de deux fois par semaine pour traiter vos symptômes d'asthme (en plus des utilisations en prévention avant un exercice physique) cela indique que votre asthme est mal contrôlé, ce qui pourrait augmenter le risque de crise d'asthme sévère (aggravation de l'asthme), entrainer des complications graves et pourrait menacer votre pronostic vital, voire être fatale. Vous devez alors contacter votre médecin au plus vite pour modifier votre traitement pour l'asthme.Si vous utilisez quotidiennement un médicament destiné à traiter l'inflammation des bronches (par exemple des " corticostéroïdes inhalés ") il est important de continuer à prendre ce médicament anti-inflammatoire régulièrement, même si vous vous sentez mieux.EN CAS DE PERSISTANCE DES TROUBLES CONSULTER IMPERATIVEMENT VOTRE MEDECIN
Effets secondaires Airomir
Peuvent être observés aux doses thérapeutiques : tremblements des extrémités, crampes musculaires, augmentation et anomalies du rythme cardiaque, maux de tête.
maux de tête, tremblements (particulièrement au début du traitement) et étourdissements, ainsi qu'une nervosité (au début du traitement)
élévation du taux de lactate sérique et acidose lactique (trouble de l'équilibre acido-basique du corps du à un excès d'acide lactique) ;
tachycardie (accélération du rythme cardiaque), palpitations (particulièrement au début de traitement), nausées, vomissements, sécheresse buccale, douleurs buccales, irritations de la bouche ou de la gorge ;
vasodilatation périphérique ;
une diminution du taux de potassium dans le sang a été rarement rapportée avec des doses très élevées de salbutamol (en particulier en association avec des médicaments dérivés de la xanthine, des stéroïdes, des diurétiques ou des laxatifs sur le long terme) ;
crampes musculaires
insomnie ;
rougeurs cutanées, agitation et réactions d'hypersensibilité (pouvant inclure : sensation d'oppression de la poitrine, sifflement respiratoire, gonflement des paupières, de la face et/ou des lèvres et éruption cutanée, hypotension pouvant aller jusqu'au malaise) ;
arythmies cardiaques (troubles du rythme cardiaque) notamment en association avec des bêta-2 mimétiques (pour traiter l'asthme)
ischémie myocardique (défaut d'oxygénation du muscle cardiaque)
Une augmentation réversible de la glycémie peut être observée avec des doses très élevées de salbutamol.Comme avec d'autres produits inhalés, possibilité dans de rares cas de survenue de toux ou de majoration de la gêne respiratoire à la suite de l'inhalation du produit. Dans ce cas, ce traitement devra être interrompu et une autre thérapeutique devra être envisagée.Bien que nous ne connaissions pas exactement la fréquence, certaines personnes peuvent ressentir des douleurs thoraciques correspondant à une angine de poitrine (troubles d'origine cardiaque). Informez votre médecin si vous développez ces symptômes pendant que vous êtes sous traitement par salbutamol, mais n'interrompez pas la prise de votre médicament sans avis médical. Une hyperactivité a été rarement observée. Ceci s'applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice.social-sante.gouv.fr/
Contre-indications
Ne prenez jamais AIROMIR AUTOHALER 100 microgrammes/dose, suspension pour inhalation en flacon pressurisé :
Si vous êtes allergique au sulfate de salbutamol ou à l'un des autres composants contenus dans ce médicament, mentionnés dans la rubrique 6 ;
Si vous présentez une majoration de la gêne respiratoire à la suite de l'inhalation de ce produit, ne pas renouveler la prise de ce médicament, mais contacter votre médecin
Airomir et grossesse
Le retentissement de l'administration de ce médicament chez la femme enceinte n'est pas connu en raison de l'absence de données suffisantes permettant de garantir la parfaite innocuité du gaz propulseur contenu dans ce médicament (le HFA-134a ou tétrafluoroéthane).Vous ne devez utiliser AIROMIR AUTOHALER durant la grossesse ou l'allaitement que si votre médecin pense que c'est vraiment nécessaire.Le passage dans le lait du gaz propulseur contenu dans ce médicament (HFA-134a) n'est pas connu.Le salbutamol peut passer dans le lait maternel. On ne sait pas si le salbutamol a un effet nocif chez le nouveau-né.
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