Tous les articles Maladies
Moins de risque d'allergie chez l'enfant qui grandit à la ferme
Les allergies sont en constante progression en France, mais aussi à l’échelle de la planète. Pour expliquer cette véritable épidémie, des chercheurs s'intéressent à l'air que respirent les enfants qui vivent à la ferme.
Les jeunes sont de plus en plus touchés par la myopie
En 2015, un jeune français sur quatre âgé de 16 à 24 ans serait myope. A l'occasion de la rentrée, l'Asnav rappelle l'importance de faire contrôler la vue des enfants régulièrement.
La carence en vitamine D impliquée dans la sclérose en plaques
Un lien entre un faible niveau de vitamine D d’origine génétique et la sclérose en plaques vient d’être établi par des chercheurs canadiens. Le risque serait doublé.
Le risque d'AVC augmenté pour les gros travailleurs
Le risque de développer une maladie des artères est accru lorsque le travail dépasse les 40 heures par semaine, selon une étude publiée dans la revue The Lancet.
Générale d'Optique s'engage à améliorer la vue des enfants malades
A chaque paire de lunettes achetée, Générale d'Optique reverse un euro à l'ONG Helen Keller International. L'objectif ? Financer un an de traitement et améliorer la vue de millions d'enfants.
8 enfants allergiques sur 10 font du sport
Plus de huit enfants sur dix ayant une allergie respiratoire font du sport, selon une enquête Ifop/Fondation Stallergènes. Plus de la moitié d’entre eux éprouvent toutefois une gêne dans ce cadre.
Rhumatismes : ils touchent aussi les jeunes
Les rhumatismes inflammatoires chroniques se déclarent en moyenne à 24 ans. Pour aider cette jeune population, des associations de malades créent le forum Rhuma’talk.
Sunburn art : ces tatouages qui inquiètent
Le sunburn art consiste à dessiner un tatouage sur son corps au moyen d’un coup de soleil. Une nouvelle tendance qui inquiète les spécialistes.
La "Vie autour" aide à trouver les associations de soins de support en cas de cancer
Diététique, relaxation, soutien psychologique... : les malades plébiscitent ces soins complémentaires pendant leur traitement. Mais en réalité, peu y ont accès.