Aripiprazole Teva est un médicament de la famille des Autres antipsychotiques.
Il est utilisé pour les traitements ou en cas d'apparition des symptômes suivants :
Médicament disponible sur ordonnance simple non renouvelable
Prix sur prescription médicale : 17,42 €
Médicament remboursé à 65 % par la Sécurité sociale
Commercialisé par Teva Sante
Posologie Aripiprazole Teva
Attention ! la posologie ci-dessous concerne la présentation suivante de Aripiprazole Teva : ARIPIPRAZOLE TEVA 10 mg, comprimé. Elle est fournie à titre indicatif et peut varier en fonction des dosages du médicament.
La dose recommandée pour l'adulte est de 15 mg par jour en une seule prise. Toutefois, votre médecin peut diminuer la dose ou l'augmenter jusqu'à 30 mg par jour maximum en une seule prise.
Effets secondaires Aripiprazole Teva
Effets indésirables fréquents (pouvant affecter jusqu'à 1 personne sur 10) :
diabète sucré ;
difficultés à dormir ;
sensation d'anxiété ;
sensation d'agitation et incapacité à tenir en place, difficultés à rester assis ;
akathisie (sensation inconfortable d'agitation interne et un besoin irrésistible de bouger constamment) ;
mouvements brefs, saccadés ou de torsions involontaires ;
tremblements ;
maux de tête ;
fatigue ;
somnolence ;
étourdissements ;
vision tremblante et trouble ;
diminution du nombre de selles ou difficultés à évacuer les selles ;
indigestion ;
nausées ;
hypersécrétion salivaire ;
vomissements ;
sensation de fatigue
Effets indésirables peu fréquents (pouvant affecter jusqu'à 1 personne sur 100) :
augmentation ou diminution du taux sanguin de prolactine ;
trop grande quantité de sucre dans le sang ;
dépression ;
modification ou augmentation de l'intérêt pour le sexe ;
mouvements incontrôlables de la bouche, de la langue et des membres (dyskinésie tardive) ;
troubles musculaires provoquant des mouvements de torsions (dystonie) ;
jambes sans repos ;
vision double ;
sensibilité de l'œil à la lumière ;
battements de cœur rapides ;
chute brutale de la tension artérielle en se levant, provoquant des vertiges, de légers étourdissements ou une perte de connaissance ;
hoquet
Les effets indésirables suivants ont été rapportés depuis la mise sur le marché de l'aripiprazole par voie orale mais leur fréquence de survenue est indéterminée (la fréquence ne peut être estimée sur la base des données disponibles) :
faible taux de globules blancs ;
faible taux de plaquettes sanguines ;
réaction allergique (par exemple gonflement des lèvres, de la langue, de la face et de la gorge, démangeaisons, urticaire) ;
apparition ou aggravation d'un diabète, acidocétose (cétone dans le sang et les urines) ou coma ;
taux insuffisant de sodium dans le sang ;
perte d'appétit (anorexie) ;
perte de poids ;
prise de poids ;
pensées suicidaires, tentatives de suicide et suicide ;
sensation d'agressivité ;
agitation ;
nervosité ;
syndrome malin des neuroleptiques (association de fièvre, raideur musculaire, respiration rapide, sueurs, diminution de la conscience, brusques changements de la tension artérielle et du rythme cardiaque, perte de connaissance) ;
convulsions ;
syndrome sérotoninergique (réaction qui peut se traduire par des sentiments d'euphorie, une somnolence, une maladresse, une agitation, une sensation d'ébriété, une fièvre, des sueurs ou des contractures musculaires) ;
trouble de l'élocution ;
fixation du globe oculaire dans une position ;
mort subite inexpliquée ;
battements du cœur irréguliers mettant la vie en péril ;
crise cardiaque ;
ralentissement des battements du cœur ;
caillots sanguins dans les veines en particulier au niveau des jambes (les symptômes comprennent gonflement, douleur et rougeur de la jambe), qui peuvent migrer à travers les vaisseaux sanguins jusqu'aux poumons provoquant une douleur thoracique et des difficultés respiratoires (si vous constatez l'un de ces symptômes, demandez immédiatement un avis médical) ;
tension artérielle élevée ;
perte de connaissance ;
inhalation accidentelle de nourriture avec un risque de pneumonie (infection des poumons) ;
spasme des muscles du larynx ;
inflammation du pancréas ;
difficultés à avaler ;
diarrhée ;
gêne au niveau de l'abdomen ;
gêne au niveau de l'estomac ;
insuffisance hépatique ;
inflammation du foie ;
coloration jaune de la peau et du blanc de l'œil ;
anomalie des paramètres biologiques hépatiques ;
rash cutané ;
sensibilité de la peau à la lumière ;
calvitie ;
sudation excessive ;
réactions allergiques graves telles qu'une réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (syndrome DRESS). Le syndrome DRESS débute par des symptômes ressemblant à la grippe et un rash sur le visage, puis sur tout le corps, avec élévation de la température, gonflement des ganglions lymphatiques, accroissement du taux des enzymes du foie dans le sang et augmentation d'un type de globules blancs (éosinophilie) :
dégradation anormale des muscles pouvant entraîner des problèmes rénaux ;
douleur musculaire ;
raideur ;
fuite urinaire involontaire (incontinence) ;
difficulté à uriner ;
syndrome de sevrage du nouveau-né en cas d'exposition durant la grossesse ;
érection prolongée et/ou douloureuse ;
difficulté à contrôler la température corporelle ou température excessive ;
douleur dans la poitrine ;
gonflement des mains, des chevilles ou des pieds ;
dans les analyses sanguines : augmentation ou variation du taux de sucre dans le sang, augmentation de l'hémoglobine glycosylée ;
incapacité à résister à l'impulsion, au besoin ou à la tentation d'accomplir un acte qui pourrait être dangereux pour vous-même ou pour les autres, par exemple :
o impulsion forte à jouer (de l'argent) de façon excessive malgré les graves conséquences sur votre vie personnelle ou familiale ;
o modification ou augmentation de l'intérêt porté au sexe et comportement préoccupant pour vous ou pour les autres, par exemple des pulsions sexuelles accrues ;
o achats ou dépenses excessifs incontrôlables ;
o manger de façon excessive (manger de grosses quantités de nourriture dans un laps de temps très court) ou compulsions alimentaires (manger plus que d'habitude et plus que nécessaire pour atteindre la satiété) ;
o une tendance à vagabonder
Informez votre médecin si vous présentez l'un de ces comportements ; il discutera avec vous des moyens pour gérer ou réduire ces symptômes.Chez des personnes âgées souffrant de démence, des cas de décès ont été rapportés plus fréquemment lors de la prise d'aripiprazole. De plus, des cas d'accident vasculaire cérébral ou d'accident ischémique transitoire (" attaque ") ont été rapportés. Des adolescents âgés de 13 ans ou plus ont eu des effets indésirables qui étaient similaires en termes de fréquence et de nature à ceux des adultes, à l'exception de la somnolence, des tremblements incontrôlés et des mouvements saccadés, de l'agitation, et de la fatigue, qui étaient très fréquents (pouvant affecter plus de 1 personne sur 10), mais aussi des douleurs dans la partie supérieure de l'abdomen, de la sécheresse de la bouche, de l'augmentation du rythme cardiaque, de la prise de poids, de l'augmentation de l'appétit, des contractions musculaires, de mouvements incontrôlés des membres, et des sensations d'étourdissement qui étaient fréquents, en particulier quand le patient se levait d'une position allongée ou assise (pouvant affecter jusqu'à 1 personne sur 10).
Contre-indications
Ne prenez jamais ARIPIPRAZOLE TEVA 10 mg, comprimé :
si vous êtes allergique à l'aripiprazole ou à l'un des autres composants contenus dans ce médicament, mentionnés dans la rubrique 6
Aripiprazole Teva et grossesse
Si vous êtes enceinte ou que vous allaitez, si vous pensez être enceinte ou planifiez une grossesse, demandez conseil à votre médecin avant de prendre ce médicament.Les symptômes suivants peuvent apparaître chez les nouveau-nés dont les mères ont utilisé ARIPIPRAZOLE TEVA durant le dernier trimestre (les trois derniers mois de leur grossesse) : tremblements, raideur et/ou faiblesse musculaire, endormissement, agitation, problème de respiration et difficulté à s'alimenter. Si votre bébé développe l'un de ces symptômes, vous devez contacter votre médecin.Si vous prenez ARIPIPRAZOLE TEVA, votre médecin vous dira si vous devez allaiter en tenant compte du bénéfice que vous retirerez du traitement et du bénéfice de l'allaitement pour votre enfant. Vous ne devez pas faire les deux (être traitée et allaiter). Demandez à votre médecin quelle est la meilleure façon de nourrir votre enfant si vous recevez ce médicament.
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