Cette maladie est la plus mortelle au monde : voici un conseil simple pour l'éviter

C'est aussi la plus mortelle chez la femme en France.

Cette maladie est la plus mortelle au monde : voici un conseil simple pour l'éviter
© Adobe stock

C'est la maladie la plus mortelle au monde et pourtant ses symptômes passent souvent inaperçus. Surtout au début. Fatigue, douleurs à la mâchoire, essoufflement... Chaque année, près de 18 millions de personnes dans le monde en décèdent soit 32% des décès mondiaux. En France, 150 000 personnes en meurent chaque année et c'est la première cause de décès des femmes.

Pourtant comme le rappelle l'OMS, cette maladie "peut être évitée". Une opinion partagée par le nutritionniste américain Luke Hanna : "Ses principaux facteurs de risque sont le diabète, l'hypertension, la dyslipidémie et l'excès de graisse abdominale qui sont tous affectés par les changements alimentaires". Aussi la clé pour éviter la maladie la plus mortelle au monde selon ce spécialiste c'est "d'apporter quelques changements simples à votre régime alimentaire".

Il conseille par exemple de réduire sa consommation de graisses saturées surtout présentes dans les aliments d'origine animale comme la viande, la charcuterie et les laitages et de privilégier des protéines maigres comme celles de la volaille et des poissons gras, au moins 2 à 3 fois par semaine. Ces changements alimentaires sont bons pour le coeur et c'est justement là que commence la maladie la plus mortelle au monde puisqu'il s'agit de la maladie cardiovasculaire.

Cette maladie se définit comme celle affectant le coeur et les vaisseaux sanguins. Elle englobe les cardiopathies ischémiques, les maladies cérébrovasculaires, les artériopathies périphériques, les cardiopathies rhumatismales, les malformations cardiaques congénitales, les thromboses veineuses profondes et les embolies pulmonaires. En France, 85% des décès dus à une maladie cardiovasculaire se produisent à la suite d'un infarctus du myocarde. Près de 50 000 personnes font un arrêt cardiaque soudain chaque année et seulement 5% survivent rappelle le ministère de la Santé.

Changer son alimentation est un moyen efficace pour réduire son risque de maladie cardiovasculaire mais l'OMS recommande aussi d'agir "sur les facteurs de risque comportementaux et environnementaux tels que le tabagisme, l'obésité, l'inactivité physique et l'usage nocif de l'alcool"