Reconnaître la décalcification chez l'enfant

Si vous constatez que le squelette de votre enfant se déforme ou qu'il ne grandit pas très vite, consultez un médecin rapidement : il pourrait s'agir de décalcification.

J'ai débuté le triathlon il y a un an et demi environ, quand mon entreprise, la Lyonnaise des Eaux, a conclu un partenariat avec la Fédération française. Elle a alors invité les salariés à participer aux épreuves, se proposant de prendre en charge l'inscription et l'équipement.  

arrivee triathlon
"Il ne s'agit pas de performance sportive à mon niveau, mais d'une envie de me surpasser, ça oui." © DR

Pour moi, le triathlon était une discipline difficile, peu accessible. Cela ne m'attirait pas. Ma grosse difficulté, ma bête noire, c'était surtout la natation. Avant le premier triathlon auquel j'ai participé à Saint-Germain-en-Laye fin 2006, je ne savais même pas nager la brasse coulée. En septembre 2007, il y en a eu un à La Baule : je ne savais toujours pas nager le crawl. Du coup, je m'y suis mise, avec l'aide et les conseils de maîtres-nageurs.

Mais mes objectifs soont multiples : me faire plaisir, m'amuser, découvrir quelque chose, un lieu nouveau, en l'occurrence des milieux naturels. Il ne s'agit pas de performance sportive à mon niveau, mais d'une envie de me surpasser, ça oui.

Ligne, forme et sérénité

Au départ, le sport était pour moi un moyen de garder la forme et la ligne, pour éviter de grossir. C'est effectivement le cas ! Puis ce qui m'a donné le courage de continuer, c'est de voir les résultats : forme et sérénité, en plus de la ligne. Dans ma vie quotidienne, il me permet de décompresser énormément, j'évacue les tensions.

Quand j'ai dû arrêter, j'ai été très frustrée. J'ai ressenti un manque, j'avais hâte de reprendre ! L'avantage du sport c'est que l'on peut se permettre quelques excès, donc c'est motivant. Sans sport, les excès, on les voit vite sur la silhouette !

equipe triathlon
"Je m'entraîne en amont pour ne pas fléchir, pour vivre l'épreuve sans souffrir et tenir jusqu'au bout." © DR

Des prédispositions pour le sport

Je faisais déjà du sport : du jogging le dimanche et du Body Pump trois ou quatre midis par semaine avec des collègues. Cela peut sembler beaucoup mais quand on y prend plaisir, on ne s'en rend pas compte. Mais c'est surtout portée par les autres que j'ai commencé le triathlon. De moi-même, je n'y serais jamais allée. C'est la dynamique, mes amis, mes collègues qui m'ont motivée. Je m'entraîne en amont pour ne pas fléchir, pour vivre l'épreuve sans souffrir et tenir jusqu'au bout. Je ne calcule pas mes temps, mon but n'est pas de battre qui que ce soit.

J'ai eu quelques problèmes au niveau du dos donc j'ai ralenti. Maintenant ça va mieux mais cela reste un loisir. Je vais continuer, j'ai des progrès à faire donc ça m'intéresse. Et puis contrairement à ce que je pensais, c'est accessible. Tant que je me sentirai suffisamment en forme, je continuerai.

 En savoir plus

Tout au long du mois du juin, 21 villes organisent à travers toute la France des animations spécifiquement adaptées à la pratique féminine dans une ambiance conviviale et sur des distances accessibles. Un événement dédié aux femmes dont le but est de faire découvrir au plus grand nombre les bienfaits de la pratique du triathlon.

 Le site de la Fédération française de triathlon : http://www.fftri.com

 Le site de la Lyonnaise des eaux : http://www.lyonnaise-des-eaux.fr